FREDERICTON (GNB) – Le gouvernement provincial a rendu public un rapport d’étape relatif au document Une stratégie de l’eau pour le Nouveau-Brunswick 2018-2028, qui présente les détails de nombreuses réalisations au cours des trois dernières années.

La stratégie de l’eau a été publiée en décembre 2017 après deux années de collaboration avec des ministères et d’autres partenaires. Son objectif était de protéger la qualité de l’eau du Nouveau-Brunswick et d’en assurer la gestion durable pour les générations à venir.

« Notre rapport d’étape témoigne clairement de notre détermination à protéger l’eau de la province », a déclaré le ministre de l’Environnement et du Changement climatique, Gary Crossman. « Nous avons concrétisé de nombreuses mesures prévues dans la stratégie de l’eau et nous continuerons à remplir ces engagements. »

Le rapport se divise en cinq sections : comprendre et partager les connaissances sur l’eau; protéger l’eau potable; protéger et améliorer la santé des écosystèmes; travailler en collaboration à la protection et à la gestion de l’eau; et rendre compte des progrès relatifs à la mise en œuvre de la stratégie.

Voici certains des progrès réalisés à ce jour :

  • mise en œuvre d’un programme de surveillance des eaux utilisées à des fins récréatives aux plages des parcs provinciaux;
  • publication d’un rapport sur l’état de la qualité de l’eau des lacs et des rivières du Nouveau-Brunswick;
  • établissement d’un plan de gestion du bassin hydrographique de la baie de Shediac;
  • création d’une nouvelle cartographie plus précise des terres humides;
  • établissement de nouvelles lignes directrices afin de veiller à la transparence et à la cohérence de la prise de décisions pour la protection des terres humides;
  • création de trois nouveaux portails de données en ligne sur la qualité de l’eau pour rendre l’information plus accessible; et
  • publication d’un rapport complet sur la qualité de l’eau potable dans les réseaux publics de distribution détenus par les gouvernements locaux.

« Des groupes de gestion des bassins versants, des universités et d’autres partenaires ont reçu plus de sept millions de dollars du Fonds en fiducie pour l’environnement pour réaliser des projets de gestion de l’eau douce, a affirmé M. Crossman. De nombreux travaux ont aussi porté sur les cyanobactéries, et plus de 550 000 dollars ont été alloués par le fonds à des projets portant sur la détection, l’information et la sensibilisation, le suivi et l’atténuation des risques. »