Gouvernement du Nouveau-Brunswick

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Définitions

Sont désignés poissons de sport le saumon de l’Atlantique anadrome, la ouananiche, l’omble de fontaine (moucheté), la truite brune, le touladi, la truite arc-en-ciel, l’omble chevalier et l’achigan à petite bouche.

Définie juridiquement en vertu du Règlement de pêche des provinces maritimes.

Une ligne de pêche est tenue à la main ou surveillée de près, et comporte au plus trois hameçons qui ne peuvent avoir plus de trois pointes chacun.

Une ligne fixe ne sert que durant la saison de pêche hivernale. Les lignes fixes doivent être surveillées de près et visibles par le pêcheur en tout temps. Chaque ligne fixe ne peut comporter qu’un hameçon à pointe unique.

La pêche au Nouveau-Brunswick

Il existe plus de 50 espèces de poissons au Nouveau-Brunswick. On peut obtenir de l’information générale sur la page Aller à la pêche ou des informations plus spécifiques à certaines espèces sur la page Renseignements généraux sur la pêche et la faune.

Pour consulter une liste plus exhaustive et des illustrations de chaque espèce, accéder à la page sur les Espèces de poission des eaux intérieures du Nouveau-Brunswick (en anglais seulement) de l’Université du Nouveau-Brunswick/l’Institut canadien des rivières.

Pour en savoir plus sur les endroits où les trouver et où pêcher, adressez-vous à votre club de chasse et de pêche local, à un vendeur d'articles ou d'attirails de pêche, à des forums locaux sur la pêche ou à des groupes sur les réseaux sociaux.

Sur le site Web du ministère des Pêches et des Océans : Dénombrement des saumons de l’Atlantique dans les rivières.

Les cartes de profondeur de divers lacs sont disponibles à partir de la page Aller à la Pêche sous les rubriques suivantes.

  • Général : consulter, à partir de la page Profondeurs de lacs, la liste des lacs pour lesquels il existe des cartes de profondeur (en format PDF); et/ou
  • Cartes interactives : consulter, à partir de la page Profondeurs de lacs, les cartes interactives (application ESRI).

Certaines cartes de rivière arborent bien le nom d'étangs et de certains propriétaires; cela dit, il n'existe pas de cartes arrêtées faisant la distinction entre les eaux publiques et privées. 

Pour connaître les droits riverains en vigueur, il faut étudier les concessions de terre d’origine. Le site Web de Service Nouveau-Brunswick renferme certaines informations, et la Direction des terres de la Couronne du Ministère peut fournir d’autres renseignements sur demande. Les mésententes avec les propriétaires privés se règlent, en dernier ressort, au moyen d’une procédure civile (intrusion).

Quand un poisson est étiqueté, cela signifie généralement qu’il est visé par un projet de recherche. Si l’étiquette est apposée sur un saumon de l’Atlantique ou un bar rayé et qu’elle appartient au ministère des Pêches et des Océans (MPO), il faut retirer l’étiquette et l’envoyer, en prenant soin d’écrire la date de la prise, à l’adresse apparaissant au verso de l’étiquette :

Direction des sciences
Ministère des Pêches et des Océans (MPO)
C. P. 5030
Moncton (Nouveau-Brunswick)
E1C 9B6

Vous pouvez aussi transmettre l’information et une photo de l’étiquette par courriel à [email protected].

N’oubliez pas de fournir vos coordonnées : nom, adresse et numéro de téléphone et courriel.

Les pêcheurs qui retournent des étiquettes prélevées sur un saumon de l’Atlantique pourront participer au tirage mis de l’avant par l’Organisation pour la Conservation du Saumon de l’Atlantique Nord pour encourager le retour des étiquettes. Un grand prix d’une valeur de 2 500 $ US ainsi qu’un prix de 1 500 $ US sont décernés chaque année en Amérique du Nord.

Pour ce qui est des autres espèces de poissons, il faut vérifier les coordonnées ou les directives figurant sur l’étiquette. Si aucune information ne figure sur l’étiquette et que la loi permet de récolter le poisson, la décision de garder ou non le poisson revient au pêcheur. Vous pouvez aussi fournir la date, les détails et l’endroit de la capture, ainsi qu’une photo si possible, au ministère du Ressources naturelles et Développement de l’énergie à [email protected]

Permis et règlements

Les saisons de pêche varient selon l’emplacement et l’espèce.

Consultez le Livret de pêche sous la zone de pêche récréative (ZPR) qui vous intéresse.

Il est possible de se procurer une copie papier :

De plus, vous pouvez consulter la carte WEB des règlements de pêche ou la carte mobile des règlements de pêche (qui se trouve sous Cartes interactives à partir de la page Aller à la pêche).

On peut acheter des permis de pêche à la ligne pour résident ou non-résident :

Frais des différentes catégories de permis de pêche à la ligne.

Il n’est pas nécessaire d’avoir un permis de pêche pour pêcher dans les eaux de marée, sauf si vous voulez conserver une ouananiche mesurant (à la fourche) entre 48 cm et 63 cm de long.

Dans le cas de toutes les espèces de poissons, sauf le saumon de l’Atlantique :

Les jeunes de moins de 16 ans n’ont pas besoin de se procurer un permis de pêche à la ligne et ils ont leur propre limite de prises quotidienne et de possession dans la mesure où ce sont des espèces dont la pêche est permise, y compris les ouananiches mesurant entre 35 cm et 48 cm.

Saumon de l’Atlantique :

Les jeunes de moins de 16 ans peuvent pêcher le saumon de l’Atlantique s’ils sont accompagnés d’un titulaire de permis de pêche au saumon valide; toutefois, le titulaire du permis doit inclure dans sa propre limite quotidienne de remise à l’eau les saumons atlantiques pêchés par le jeune.

Les pêcheurs à la ligne résidents âgés de 10 et 15 ans doivent acheter un permis de pêche au saumon de l’Atlantique s’ils veulent avoir leur propre limite quotidienne de remise à l’eau de saumons de l’Atlantique vivants ou leur propre limite de prises de ouananiches mesurant entre 48 cm et 63 cm (longueur à la fourche). NOTA : La limite de taille minimale de la ouananiche est de 35 cm; toutefois, il faut apposer une étiquette de saumon de l’Atlantique à toute ouananiche dont la longueur est de 48 à 63 cm si le pêcheur veut la conserver. Il faut remettre à l’eau les poissons mesurant plus de 63 cm.

Eaux de la Couronne réservées :

Pour en savoir plus sur les exigences relatives à la pêche par les jeunes dans les eaux de la Couronne réservées, consulter la rubrique Eaux de la Couronne réservées.

 

Oui, vous pouvez pêcher la nuit, dans les eaux de marée; toutefois, vous ne pouvez pas, dans des secteurs précis, pêcher de poissons de sport ou certains poissons non considérés comme poissons de sport, comme le bar rayé. Pour obtenir de plus amples renseignements, communiquer avec Pêches et Océans Canada : Pêches récréatives dans la région du Golfe ou Pêches récréatives dans la région des Maritimes.

Vous pouvez pêcher dans les eaux intérieures, durant la période d’ouverture de la pêche, en commençant deux heures avant le lever du soleil et se terminant deux heures après le coucher du soleil.

La pêche hivernale :

Règles
Générales

Autres eaux intérieures

Eaux intérieures désignées

Eaux internationales désignées

Eaux de marée désignées

Autres eaux de marée

Périodes de pêches

2 heures avant le lever du soleil jusqu’à 2 heures après le coucher du soleil

30 minutes avant le lever du soleil jusqu’à 30 minutes après le coucher du soleil

30 minutes avant le lever du soleil jusqu’à 30 minutes après le coucher du soleil

24 heures par jours

24 heures par jours

Les appâts prescrits varient selon le plan d’eau :

Dans les eaux intérieures du Nouveau-Brunswick, on ne peut pas utiliser de poisson vivant comme appât. On peut se servir de poissons morts, mais dans la mesure où ce ne sont pas des achigans, des barbottes brunes, des crapets-soleils, des perchaudes, d’autres poissons à rayons épineux, des brochets maillés, des cyprins dorés et d’autres types de carpes.

Dans les eaux de marée du Nouveau-Brunswick, on peut utiliser des poissons vivants comme appâts, dans la mesure où ils ont été prélevés dans les eaux de la province. Il est interdit d’utiliser comme appât l’un des poissons suivants, morts ou vivants : l’achigan, la barbotte brune, le crapet-soleil, la perchaude, d’autres poissons à rayons épineux, le brochet maillé, le cyprin doré et d’autres carpes.

Dans les eaux établissant la frontière avec le Maine, il est permis d’utiliser comme appât un poisson vivant s’il a été pris dans le plan d’eau où se déroule la pêche. Il est interdit d’utiliser comme appât l’un des poissons suivants, morts ou vivants : l’achigan, la barbotte brune, le crapet-soleil, la perchaude, d’autres poissons à rayons épineux, le brochet maillé, le cyprin doré et d’autres carpes.

Écrevisse
Il est interdit d’utiliser les écrevisses comme appâts vivants dans les eaux intérieures. Toutefois, dans les eaux à la frontière internationale, c’est autorisé à condition que les écrevisses proviennent des eaux où l’on pêche. En ce qui concerne les eaux de marée, les écrevisses doivent provenir du Nouveau-Brunswick. Lorsque c’est autorisé, seules les espèces indigènes doivent servir d’appâts vivants.

On peut connaître les changements apportés au règlement en cours de saison en consultant lle Registre d’ordonnances du ministère fédéral des Pêches et des Océans (MPO) pour chacune des régions du Golfe ou des Maritimes. Autres pages Web utiles : Pêches récréatives dans la région du Golfe et Pêches récréatives dans la région des Maritimes.

Vous pouvez également ouvrir la Carte WEB des règlements de pêche ou la Carte mobile des règlements de pêche (sous la rubrique Cartes interactives à partir de la page Aller à la Pêche).

NOTA : Précisons qu’il peut y avoir un délai entre la délivrance de l’avis du MPO et la mise à jour de la carte Web, dépendamment de la journée.

 

Au Nouveau-Brunswick, il faut obtenir un permis L’article 52 (permis de pêche à des fins scientifiques) auprès du ministère des Pêches et des Océans (MPO) du Canada pour prélever du poisson à des fins scientifiques ou éducatives ou d’exposition en public ou alors à d’autres fins. Les demandes et les permis visent des régions précises du MPO (du Golfe ou des Maritimes).  

Il faut obtenir un permis auprès du ministre des Ressources naturelles pour mener des recherches dans une zone naturelle protégée. Il faut également obtenir un permis dans les aires de gestion de la faune et les réserves de la faune. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le ministère.

Braconnage et application de la loi

Toute question précise concernant l’application de la loi doit être posée à un agent de conservation œuvrant auprès du ministère provincial de la Sécurité publique ou à un agent de conservation et de protection au service du ministère fédéral des Pêches et des Océans :

Contactez le ministère des Ressources naturelles et Développement de l'énergie au 506-453-3826 ou au bureau de district le plus proche.

Détachements de Conservation et Protetion du MPO
Détachement Numéro de teléphone Détachement Numéro de teléphone
Baie Ste-Anne 506-228-4263 Quispamsis 506-849-1416, ext. 221
Beresford 506-542-7485 Renous 506-622-5992
Campobello 506-752-2935 Richibucto 506-523-4606
Caraquet 506-727-3038 Shediac 506-533-5033
Charlo 506-684-2202 Shippagan 506-336-6474
Fredericton 506-452-3018, ext. 221 South Esk 506-773-3268
Grand Manan 506-662-3151 St. George 506-755-5000
Grand-Sault 506-473-3993 Tracadie 506-395-7706
Neguac 506-776-3307    

SIGNALEZ TOUT ACTES DE BRACONNAGE au ministère de la Justice et de la Sécurité publique (JSP) et au ministère des Pêches et des Océans (MPO).

La présence des pêcheurs sur l’eau est un moyen de dissuasion important contre les activités de pêche illégales.

Veuillez faire votre part en signalant le braconnage du poisson ou l’utilisation d’engins de pêche illégaux à un agent de conservation.

Si l’acte est en cours, il est important de le signaler rapidement par téléphone cellulaire :

  • Branchez-vous à un agent de conservation de JSP au 506-453-7171
  • Branchez-vous à un agent de conservation et protection du MPO au 1-800-565-1633 (appuyez sur 2 et 6)
  • Rassemblez des preuves à l’appui de votre signalement. Prenez en note les détails de l’activité — la date, l’heure et l’endroit exacts. Prenez des photos et notez le numéro d’immatriculation du véhicule si possible.

Eaux marines et eaux de marée

Une liste des eaux de marée. La limite pour les eaux non mentionnées dans la liste est la laisse de basse mer pendant le temps des petites marées, tel qu’elle est établie par le ministère fédéral des Pêches et des Océans (MPO) et définie dans les tables des marées et courants du Canada.

Pour obtenir de plus amples renseignements, communiquer avec votre agent de conservation et de protection au service du ministère fédéral des Pêches et des Océans : régions du Golfe  ou des Maritimes.

Il n’est pas nécessaire d’avoir un permis de pêche pour pêcher dans les eaux de marée, sauf si vous voulez conserver une ouananiche mesurant (à la fourche) entre 48 cm et 63 cm de long.

La pêche sportive d’espèces marines et la pêche récréative de mollusques sont réglementées par Pêches et Océans Canada. Pour obtenir de l’information sur les saisons et les zones de pêche, les limites de prises, les secteurs où la pêche est interdite et d’autres règlements, veuillez communiquer avec ce ministère : Région des Maritimes (ZPR 5, 6, 7, 8) : 902-426-2473 Région du Golfe (ZPR 1, 2, 3, 4) : 506-851-7797 ou 506-851-7798

Carte de cueillette 

Quand on pêche à la ligne des poissons de sport dans les eaux de marée durant la période d’ouverture de la pêche ordinaire, une seule ligne de pêche (p. ex. une canne) comportant jusqu’à trois hameçons n’ayant pas plus de trois pointes chacun est permise. Pour la pêche d’une espèce qui n’est pas un poisson de sport, jusqu’à cinq lignes peuvent être utilisées ne comportant pas plus de six hameçons et trois pointes.

La même règle s’applique à la pêche hivernale; toutefois, il faut utiliser une ligne fixe.

 

La période et les limites de prises dans les eaux de marée pour le poisson de sport sont les mêmes que dans les eaux intérieures. Quant aux espèces qui ne sont pas des poissons de sport, les périodes et les limites de prises varient. Consulter le livret de pêche – Sommaire des règlements ou La pêche hivernale, selon le moment de l’année de la partie de pêche.

De plus, vous pouvez consulter la carte WEB des règlements de pêche ou la carte mobile des règlements de pêche (qui se trouve sous la rubrique Cartes interactives à partir de la page Aller à la Pêche).

Empoissonnement

Pour obtenir une liste des plans d’eau ensemencés par le Ministère, consulter la rubrique Eaux ensemencées, sur la page Aller à la Pêche :

Les poissons et leur habitat

S’il est permis de récolter le poisson, n’hésitez pas à le conserver, idéalement sur la glace, et veuillez communiquer dès que possible avec le Ministère des Ressources naturelles et du Développement de l'énergie. Dans cas contraire, envoyez des photos de toutes les caractéristiques du poisson et de ses anomalies à [email protected].

Parmi les maladies et les problèmes les plus fréquents, mentionnons la furonculose (anglais seulement), la saprolégniose (anglais seulement) ou de petits parasites communément appelés « taches noires » (anglais seulement) [voir aussi le dépliant en anglais de la Nouvelle-Écosse sur la tache noire) et « vers jaunâtres » (anglais seulement).

Oui, on peut habituellement manger ces poissons sans crainte, dans la mesure où ils sont bien cuits. Ce sont de petits parasites (trématodes) communément appelés « taches noires » (anglais seulement) et « vers jaunâtres » (anglais seulement). Ces organismes se retrouvent sur de nombreuses espèces de poissons dans les eaux du Nouveau-Brunswick et ailleurs. La présence de ces parasites ne pose pas de problème pour la santé humaine.

Un seul avis de la santé publique a été publié récemment au Nouveau-Brunswick au sujet des poissons d’eau douce, et il concerne la contamination au mercure. Certaines lignes directrices s’appliquent au choix et à la consommation de poisson pêché dans les rivières et les lacs du Nouveau-Brunswick.  Cela concerne notamment la consommation de l'omble de fontaine (truite mouchetée), du touladi, de la ouananiche, de l'achigan à petite bouche, du bar rayé, de la barbotte, du brosme (lotte), du maskinongé, de la perchaude et du brochet doré.

Les questions et les préoccupations concernant la qualité de l’eau doivent être transmises au ministère provincial, Eau – Environnement et Gouvernements locaux, et/ou au ministère fédéral, Environnement et Changement climatique Canada

Pour signaler la prolifération d’algues, communiquer avec le ministère provincial de l’Environnement et des Gouvernements locaux (bureaux régionaux).

Pour obtenir des renseignements sur la prolifération d’algues ou sur d’autres avis liés à la santé publique, consulter les pages Web du ministère de la Santé sur les algues bleues ou encore les Avis de Santé publique.
 

Consulter les pages Web suivantes pour obtenir de l’information sur les niveaux d’eau : Environnement et Gouvernements locaux et/ou Environnement et Changement climatique Canada.
   

Les activités se déroulant à moins de 30 mètres d’un plan d’eau ou d’un milieu humide nécessitent généralement un permis. Pour obtenir de plus amples renseignements, communiquer avec le ministère de l’Environnement et des Gouvernements locaux afin de déterminer s’il faut demander un permis autorisant la modification d’un cours d’eau et de terres humides.

Pour signaler une mortalité de poissons, composer le 1-800-565-1633, poste 2, et accéder au système d’information de la Garde côtière canadienne accessible 24 heures sur 24 qui répertorie les pollutions accidentelles sur terre, dans les airs, dans les lacs et les rivières. En cas de mortalité de poissons dans les provinces de l’Atlantique, les mesures d’intervention relèvent à la fois des quatre ministères provinciaux de l’Environnement (Île-du-Prince-Édouard, Terre-Neuve, Nouveau-Brunswick et Nouvelle-Écosse), d’Environnement Canada (région de l’Atlantique) et du ministère des Pêches et des Océans. 

Il n’existe actuellement aucun programme provincial Adoptez un cours d’eau; cependant, vous pouvez vérifier auprès de l’organisme responsable du bassin versant de votre région.

Espèces envahissantes

A.    Pour obtenir de l’information sur les espèces envahissantes aquatiques, consultez les sites Web suivants :

Pour signaler la présence d’espèces envahissantes aquatiques, veuillez communiquer l’information suivante à, au moins, l’un des ministères repris ci-dessous : 

  • l’endroit exact où vous avez observé leur présence (coordonnées GPS) et la date;
  • des photos de toute caractéristique pouvant l'identifier (tête, nageoire, corps, longueur, marques) sous divers angles. 

Ministère des Ressources naturelles et du Développement de l’énergie
Courriel : [email protected]
Téléphone : 506-453-3826 

Ministère des Pêches et des Océans
Courriel : [email protected]
Téléphone : 1-866-759-6600 

En ce qui concerne les signalements non urgents (espèces déjà observées dans cette région), il est possible d’en référer à iMapInvasives (en anglais seulement) et/ou à iNaturalist.

Le Nouveau-Brunswick compte désormais quatre espèces différentes au moins d’écrevisses, mais une seule d’entre elles est originaire de la province, l’écrevisse de ruisseau (Cambarus bartonii). Cette espèce vit dans les ruisseaux ou les cours d’eau frais et propres de la province.

Les trois populations exotiques sont l’écrevisse à pinces bleues, Faxonius virilis, présente dans la moitié supérieure du bassin hydrographique du fleuve Saint Jean (Wolastoq), ainsi qu’ici et là dans le bassin hydrographique de la Miramichi; l’écrevisse à épines, Faxonius limosus, présente dans la région de Sainte-Croix; et l’écrevisse blanche de rivières, Procambarus zonangulus, qui vit dans un petit lac privé du réseau hydrographique du fleuve Saint Jean (Wolastoq).

Pour obtenir un complément d’information sur l’emplacement et les espèces d’écrevisses au Nouveau-Brunswick, adressez-vous au Musée du Nouveau-Brunswick.

Veuillez noter qu’il est illégal de relâcher des écrevisses d’un aquarium dans une étendue d’eau naturelle.